acte 2 : DROSSART c/ AMIEL et ALLEGRET

Ainsi, ces dames n'acceptent pas la décision et vont décider d'user de leurs bons droits d'héritières pour contester le jugement et faire appel !!!
Mais, bon sang ! Ca ne s'arrêtera donc jamais ??? Cela ne les regarde pas ! C'était un combat entre mon père, ma mère et moi, et comme arbitre, la justice ! Elles n'ont aucune décence, aucun respect face à la souffrance que j'ai endurée jusqu'à cette reconnaissance officielle ! Pourquoi remettent-elles en cause l'identité que l'on vient enfin de m'accorder ? Pourquoi refusent-elles ma légitimité ? Pourquoi ne veulent-elles pas accepter mon existence ? Elles n'étaient pas dans la chambre d'hôtel avec mon père et ma mère lorsqu'ils m'ont conçue ensemble, cette nuit-là ! D'autant plus que leur liaison a été prouvée durant ces deux ans d'enquête judicière ! Elles n'ont pas contesté à ce moment-là. Alors comment peuvent-elles être aussi catégoriques aujourd'hui ? Elles ont le culot de tout nier : les témoignages, la liaison que ma mère a eu avec Montand, le PV de carence déposé par le Dr MARCELLI, mes propres rencontres avec Yves Montand, ma ressemblance, ma souffrance et le Tribunal précédent lui-même qui avait « osé » me déclarer fille d'Yves Montand sur « une simple ressemblance » !


Ca embête Dames Amiel et Allégret que je porte le nom de mon père ! Quel toupet !

Carole Amiel dans ses conclusions du 27 février 1995 : « ...Nonobstant cette décision, Aurore DROSSART s'est indûment appropriée non seulement le patronyme de Livi, mais aussi le pseudonyme de MONTAND ainsi qu'en atteste l'interview qu'elle a accordée à l'hebdomadaire Gala le 15 septembre 1994 intitulée « Enfin je m'appelle Montand ». La cour fera interdiction à Aurore Drossart de s'approprier ce pseudonyme de même que le nom du défunt. (...) De surcroît, compte tenu des accusations injurieuses et diffamatoires qu'elle n'a cessé de proférer à l'encontre de Mr Yves MONTAND, du fait qu'elle ne l'a jamais connu et ne sera pas, a priori, appelée à évoluer dans sa famille, l'intimée ne saurait davantage se voir attribuer le patronyme de LIVI et ce d'autant qu'elle porte depuis sa naissance celui de DROSSART.»

Non mais d'où tu m'interdis de porter le nom de mon père ? J'ai été reconnue officiellement "fille d'Yves Montand"! JE SUIS SA FILLE !!!!!!
Et je ne me suis rien appropriée du tout ! Elle est indignée par le titre de couverture qu'a choisi Gala : « Enfin je m'appelle Montand » ! C'est un argument purement de mauvaise foi car soyons réalistes : Vous voyez, vous, les journalistes, titrer leurs magazines « : « Enfin je m'appelle Livi » ? Ou « la nouvelle vie de Valentin Livi »? Ca parlerait à qui ? Personne ! Par conséquent, c'est totalement logique qu'ils emploient le nom de « Montand » pour attirer le public et vendre ! Elles connaissent les médias ! Et au-delà de ça, tout le monde, sans exception aucune, l'a toujours appelé « Montand » ! Donc vraiment pure mauvaise foi ! Et bien sûr, lorsque ce fut au tour de Valentin de faire des couvertures, on a toujours pu lire : « Valentin Montand » ! Bref ! Tout ça pour dire que c'est quand ça les arrange à chaque fois !

Catherine Allégret dans ses conclusions du 20 février 1995 : « Il convient d'ajouter que Mlle Aurore DROSSART, qui ne craint pas dans la presse à scandale de salir la mémoire d'Yves MONTAND et de porter sur le défunt des appréciations calomnieuses et déplaisantes, ne saurait en toute hypothèse et quelle que soit l'issue de la présente procédure être autorisée à porter ce nom. »
Dit celle qui s'appelle Allégret-LIVI et qui a pourtant porter sur le défunt des appréciations plus que calomnieuses et déplaisantes dans son livre « D'un monde à l'envers ».


Ca embête Dame Amiel de devoir partager le patrimoine moral et artistique d'Yves Montand avec moi !

Carole Amiel dans « Lettres à Montand » : « Je ne peux me résigner à partager avec une usurpatrice le patrimoine moral et artistique de Montand. Nous vois-tu demander l'autorisation d'Aurore Drossart ou de Gilberte pour faire une émission sur lui ? Ce serait le comble, non ? Elles le haïssent. »T'es sûre que c'est tout ce que tu ne veux pas partager avec moi ? Haha ! Et d'où prétends-tu avoir le monopole de son patrimoine moral et artistique, toi ? Juste une maîtresse qui a réussi un grand coup, celui de lui faire reconnaître son enfant en fin de vie ! Mais c'est tout ! Tu n'as rien à voir avec ce patrimoine artistique construit par le couple Signoret-Montand ! Juste un décor qui a attendu patiemment son heure. Une femme qui a réussi à s'accaparer l'immense patrimoine Montand-Signoret tel un drapeau placé sur une terre riche et fertile en criant « c'est à moi » ! Et entre nous, je pense que je suis bien plus douée artistiquement que cette dame qui n'a jamais su faire quoi que ce soit de ses dix doigts, contrairement à moi. A contrario, Catherine Allégret a bien plus de légitimité dans ce domaine que Carole, ou même Valentin. 


Selon Dame Amiel et sa boule de Cristal magique, je n'ai jamais rencontré Yves Montand, et ma mère n'a jamais appelé chez lui, ni jamais provoqué de rencontres !

Carole Amiel dans Paris Match du 22 septembre 1994 : « En ce qui concerne cette jeune fille, je peux vous assurer que Montand ne l'a jamais rencontrée de sa vie et qu'il n'a pour la première fois découvert son existence qu'en recevant des mains d'un huissier de justice une assignation de Jacques Vergès en juillet 1989 (…) Pour ma part, si j'ai évoqué le fait d'avoir été sa collaboratrice bien avant de devenir sa compagne, c'est pour préciser que, de 1982 au jour de l'action en justice, alors que j'ouvrais une grande partie de sa correspondance et répondais à bon nombre d'appels téléphoniques qui lui étaient destinés, je n'ai jamais reçu une lettre ou un appel téléphonique de Mme Drossart. »

Mais tu te donnes une importance que tu n'as pas du tout, petite Carolette ! Déjà, entre 1982 et 1985, il y avait encore Simone Signoret, ne t'en déplaise ! Ou veux-tu nous faire croire que tu habitais chez le couple Signoret-Montand et que vous faisiez ménage à 3 ? Je ne crois pas non ! Déjà parce qu'en 1982, Carole a 19 ans, et Simone ne connait même pas encore son existence !
Pourtant, elle veut nous faire croire qu'elle est en mesure d'affirmer qu'Yves Montand ne m'a jamais rencontrée lorsque j'étais gamine, et que ma mère n'a jamais téléphoné à Yves Montand ! Je rappelle au passage le témoignage de Danielle Delorme qui dit justement le contraire, provenant des paroles de Simone Signoret elle-même !
A mourir de rire tout de même ! Elle n'était même pas là à cette époque ! Sinon, au lieu de tomber sur Simone elle-même, ma mère serait donc tombée sur la petite Carole, une gamine de 16-17 ans, maîtresse d'Yves Montand ! Il faut être un peu sérieux ! Donc, pur mensonge de Carole, démonté vraiment très facilement.

« Je me garderais de porter un jugement sur le fond, mais, en ma qualité de mère, il me semble qu'avant de plonger une jeune adolescente de 14 ans au centre d'une querelle juridique éprouvante, j'aurais tenté par tous les moyens de me rapprocher de son prétendu père. Aucune trace d'une telle volonté n'existe. »
Des baffes ou bien ? 


Selon Dames Amiel et Allégret, ma mère a tout inventé, il n'y a aucun témoin de leur relation, comme si ces deux ans de procédures pénales n'avaient jamais existé !
Catherine Allégret, dans « Au non du père » : « … comme il n'est pas de rôle sans scénario, elle s'inventait aussi un père pour son enfant et imaginait avoir eu, avec Yves Montand, une liaison de plusieurs années. »

Dans ses conclusions du 20 février 1995 : « Alors que Mademoiselle Aurore Drossart était déjà âgée de 14 ans, sa mère, Madame Gilberte Drossart, saisissait le Tribunal de Grande Instance de Paris d'une action en recherche de paternité à l'encontre de Monsieur Yves Montand.
Ce délai, totalement inexplicable, ne pouvait se justifier que par le fait que Madame Gilberte Drossart ignorait, elle-même, qui était le père de l'enfant.
… En outre, les autres témoins, entendus au cours de l'enquête pénale, ont tous confirmé n'avoir jamais vu Madame Drossart et n'avoir jamais été au courant de la relation que celle-ci prétendait avoir entretenue avec Yves Montand. »
Bon bah là, que vous dire ? Il suffit de revenir aux témoignages de professionnels du cinéma qui attestent très largement de la relation entre Yves Montand et ma mère ! Donc encore du pur mensonge et de la pure mauvaise foi ! Prouvé très facilement encore une fois ! Tout est dans le dossier ! Vous voulez encore des preuves de leurs mensonges et mauvaise foi ? Lisez la suite car ce sera leur cheval de bataille : le mensonge et la mauvaise foi...

Carole Amiel dans ses conclusions du 2 mars 1995 :« ...force est de constater qu'en dépit de l'imagination fertile de Gilberte DROSSART, il n'existe aucun témoin « visuel ou auditif » de sa prétendue liaison de « deux années » avec Mr Montand. Comment ne pas s'étonner que durant une si longue période, cette « liaison » n'ait pas laissé le moindre signe d'affection : pas une lettre, pas même une carte postale ou un mot, pas une photographie, pas un ami commun, rien. En conséquence, devant l'inanité des preuves alléguées, la Cour réformera le jugement entrepris et déboutera Aurore DROSSART de son action en recherche de paternité. »

Elle dira également dans « Lettres à Montand » : « Elle prétend pourtant que cette idylle supposée aurait duré deux ans. Or, six ans de procédure ne lui ont pas permis de produire le moindre mot tendre, la moindre photo ou un quelconque témoignage sérieux pouvant attester ses dires. »

Et dans le Paris Match du 22 septembre 1994 :« Montand aurait-il pu vous cacher cette liaison ? »
Carole : « Il n'avait aucune raison de le faire (…) Après sa disparition, j'ai interrogé ses amis de cœur : aucun d'entre eux n'avait entendu parler de Gilberte Drossart ou d'Anne Fleurange. Il en a été de même pour l'ensemble des gens de la profession avec lesquels il avait travaillé durant cette période, contrairement à ce que j'ai pu lire ou entendre ces derniers jours
Elle va, par ailleurs, en remettre une couche au cours de l'interview : « Il faut tout de même savoir que cette décision judiciaire est intervenue sans qu'il y ait le moindre témoin visuel ou oral. Pas une seule personne, dans cette affaire, n'a vu la mère de cette jeune fille aux côtés de Montand. C'est impressionnant tout de même ! »
Ah mais de mentir comme ça en toute impunité, c'est ça qui est vraiment impressionnant et époustouflant, je trouve ! Merci d'en faire une aussi belle démonstration devant tous mes lecteurs.
Heureusement que la police a fait un meilleur travail d'enquête que toi ma pauvre Carole.
Prises toutes les deux en flagrant délit de mensonge éhonté, de duperie !! Là, elles zappent sciemment les deux ans d'enquête judiciaire avec justement des témoins sérieux provenant du cinéma qui attestent de la liaison entre ma mère et Yves Montand ! C'est pourtant factuel !


Selon Dames Amiel, Yves Montand n'a jamais eu le temps de faire la preuve de sa non-paternité, le pauvre…

Elle ose dire qu'Yves Montand n'a jamais refusé de se soumettre aux tests génétiques, qu'il en aurait seulement demandé leur report en attendant l'aboutissement d'une plainte pénale qu'il avait déposée contre ma mère et tous ses témoins, et qu'il n'a, le pauvre, jamais eu le temps de prouver sa non-paternité. Ça, c'est le 2ème pion qu'elles avancent pour pouvoir justifier leur demande d'expertise, et plus tard, pour pouvoir justifier leur accord pour l'exhumation qui n'irait donc pas contre son consentement ! Qui fut un grand débat !
Ainsi, mise en place du terrain marécageux dans lequel le clan Montand souhaite nous embourber.

Dans le Paris Match du 22 septembre 1994 :

Journaliste : « Yves Montand a toujours nié cette liaison et n'a pas eu le temps de se soumettre à un test de paternité de son vivant. (Oh la bonne blague !)
On a beaucoup dit, et je crois que cela figure dans le jugement, que Montand s'était par deux fois dérobé à une expertise sanguine qui devait faire la preuve de sa paternité ou de sa non-paternité. Qu'en pensez-vous ? »
Carole : « Montand ne s'est en aucun cas dérobé. Par deux fois, il a effectivement demandé le report de l'expertise en raison, notamment, du dépôt d'une plainte qui a donné lieu à une enquête pénale durant laquelle Mme Drossart a été inculpée de complicité de fausses attestations. Une ordonnance de non-lieu a cependant été rendue par la suite en sa faveur. C'est à ce moment que Montand aurait dû subir cette expertise sanguine. Malheureusement pour nous tous, il n'était plus. C'est ainsi que sa disparition prématurée a été considérée par certains comme un refus d'exécuter une décision de justice. Montand n'était pas homme à se croire au-dessus des lois. Son comportement, sa vie entière, sa droiture le démontrent suffisamment. »

Comme c'est intéressant de pouvoir réécrire l'histoire comme ça l'arrange, et de se servir de la presse pour contourner la vérité. Alors comme ça, Yves Montand, un exemple de droiture ? Ouiiii… Tout le monde y croît ! Pourtant, il a menti devant la loi en disant qu'il n'avait jamais trompé Simone et qu'il ne connaissait pas ma mère ; rajoutez-y les pressions extérieures que nous avons subies, son neveu producteur qui a cru bon de menacer nos témoins issus du cinéma, sans oublier le faux télégramme reçu pour qu'on ne se présente pas au test ADN… De la droiture ? Vraiment ? Personnellement, j'apparente plutôt cela à des actes de voyou !

Journaliste : « Que voulez-vous répondre à ceux qui pensent qu'il aurait dû se plier immédiatement à cette expertise s'il n'était pas coupable ? »
Carole : « Une chose très simple : compte tenu de sa notoriété et devant tant d'invraisemblances, comment le pouvait-il ? (…) Montand ne pouvait tout de même pas admettre que n'importe quelle personne en mal de publicité vienne, pour un moment de célébrité, revendiquer une intimité sans fondement… Il voulait se défendre et faisait confiance à la justice. Il souhaitait pour cela être confronté en personne à ses accusateurs. »
Oh bah il aurait pu venir se confronter en personne à ses deux accusatrices au moment des tests ADN, ça aurait été plus rapide ! Je rappelle que NOUS y sommes allées, mais pas lui ! Il ne s'est pas présenté aux deux convocations ordonnées par un Tribunal, puis par une Cour d'appel. Point barre ! Et le Tribunal a estimé que les motifs de ses demandes de report « se sont finalement révélés infondés » ; ce ne furent que « des manœuvres dilatoires » pour ne pas se soumettre à ce test ADN. Car ce que le Tribunal a fustigé chez Yves Montand, ce n'est certainement pas le droit d'exercer tous les recours que lui accorde la loi… mais de les avoir utilisés dans un but peu avouable en définitive : celui d'empêcher la manifestation de la vérité ! Car comment qualifier autrement l'attitude qui consiste à refuser une mesure d'instruction en employant des moyens qui se révèleront tous… infondés ?

Le Tribunal ne fut pas dupe. Si Yves Montand n'était pas décédé, il n'aurait pas manqué de nouvelles ressources pour ne jamais se soumettre à cette mesure d'instruction qui, dès le départ, le contrariait au plus haut point. C'est ça la vérité. Et non ce qu'elles essaient de faire croire.

Carole Amiel dans « Lettres à Montand » :« Ton but était de confondre, un à un, les six auteurs des assertions mensongères et de faire la preuve de l'inexactitude des faits invoqués, grâce à une instruction pénale… Mais compte tenu de ton décès, un non-lieu fut prononcé…
Tu n'eus donc pas le temps de te défendre, Montand. Et la justice n'en tint absolument pas compte. »

Ah bon ??? A cause de son décès maintenant ??? Elle est bien bonne celle-là !
Non ! Il y a eu un non-lieu parce que ces deux années d'enquête judiciaire ont prouvé que ma mère disait la vérité ! Point barre ! Le seul à avoir menti sous serment durant ces deux années d'enquête judicière, c'est Yves Montand ! Personne d'autre ! Il ne faut tout de même pas l'oublier !!! C'est quand même dingue de lire des choses pareilles !!!


Ca embête Dames Amiel et Allégret que je ressemble à mon père !

Carole Amiel dans ses conclusions du 2 mars 1995 : « De surcroît, la Cour appréciera et conviendra à tout le moins en observant les photomontages indécents fabriqués par Gilberte DROSSART que ladite ressemblance est des plus discutables et que jouant du pouvoir suggestif de ces manipulations photographiques, celle-ci aurait pu choisir pour sa fille bien d'autres pères célèbres. »

En plus de leur argument bidon de photomontage, elles en avancent un encore plus ridicule : ma petite taille, qui serait une preuve suffisante pour dire qu'Yves Montand ne peut être mon père.

Catherine Allégret dans « Au non du père » : « la petite Aurore, si petite que sa taille seule aurait dû alerter les juges sur les fantaisies de sa mère, n'était qu'une marionnette entre des doigts maternels et crochus. » Surtout lorsque l'on sait qu'Yves Montand était le seul et unique grand de sa famille ! Donc pure mauvaise foi, encore et encore.
Car sa sœur Lydia et ses parents étaient tous… petits comme moi !!!!! Hé oui ! Carole Amiel elle-même, dans son livre « Montand tout simplement », parle de sa rencontre avec Lydia : « Je fus surprise de prime abord par sa petite taille… Je m'étais habituée au mètre quatre-vingt-sept de Montand. »
On apprend également dans le livre d'Emmanuel Bonini, « Le véritable Yves Montand », que Giovanni Livi, le père d'Yves Montand, ne mesurait qu'1m64.
Benjamin Castaldi est le seul à dire que je lui ressemble, même s'il invente une autre raison complètement absurde pour l'expliquer, dans « Maintenant, il faudra tout se dire » :
« La fille était devenue le portrait craché de Montand, une sorte de clone féminin. Elle s'était mise à ressembler à son objet de fixation, comme certains chiens se mettent à ressembler à leurs maîtres par un curieux phénomène de mimétisme. »

Drôle car lui qui a tout fait pour ressembler à Yves Montand à tous les niveaux, qui a même douté d'être son fils à un moment, ne lui ressemble pas du tout ! L'effet du mimétisme dont il parle n'a visiblement pas fonctionné sur lui ! Il est le pur clone masculin de son père : Jean-Pierre Castaldi. 


En conclusion, selon Dames Amiel et Allégret, le Tribunal a mal fait son travail puisqu'il m'aurait déclarée fille d'Yves Montand sur « une simple ressemblance » :

Carole Amiel, dans « Lettres à Montand » : « Attendu que, comme les témoins, le tribunal ne peut manquer de noter la grande ressemblance physique existant entre Aurore, dont plusieurs photographies sont versées aux débats, et Yves Montand… » Ainsi, la justice ne retenait comme preuve irréfutable qu'une « ressemblance ». (…) Pourtant, il n'exista jamais aucune preuve matérielle d'une quelconque relation entre toi et cette femme. La ressemblance évoquée ne fut probablement exploitée que pour pallier ce manque évident de preuves. »


Catherine Allégret dans « Au non du père » : « Il ne restait plus au tribunal qu'à conclure que, « comme les témoins, il ne pouvait manquer de noter la grande ressemblance physique existant entre Aurore, dont plusieurs photographies sont versées au débat, et Yves Montand ». Voilà comment et sur quels éléments, par jugement rendu le 6 septembre 1994, le tribunal déclara qu'Aurore Drossart était la fille d'Yves Montand. »
Ah c'est sûr que si on ne lit QUE la fin des conclusions du Tribunal, le seul et unique passage qu'elles choisissent toutes les deux de citer, en omettant tout le reste, ça fait très léger ! Ainsi, leur version volontairement faussée, biaisée, ayant entre les mains les mêmes pièces de procédures que nous, prouve qu'elles mettent tout en œuvre pour nous faire passer pour des usurpatrices aux yeux de tous !

"De faux témoins, un faux refus, une fausse ressemblance : tels furent les ingrédients qui allaient faire d'Aurore Drossart, dans l'esprit de beaucoup de gens et dans celui d'une justice bien crédule, la fille cachée d'Yvo Livi, dit Yves Montand... »

C'est alors que Dame Amiel décida qu'il était temps de faire le travail de la justice, pour le bien de Valentin ! Bah voyons… Dans « Lettres à Montand » :

« Nous avions cinquante pour cent de chances de voir le tribunal ne pas déclarer ta paternité. J'avais tant espéré que la rigueur et le bon sens judiciaire auraient raison de la machination de Gilberte Drossart.
… En somme, nous allons faire le travail de la Justice, celui qu'elle aurait dû mener consciencieusement avant de déclarer Montand père posthume.
… N'oublie pas le jour où Valentin, devenu un homme, relira le dossier Drossart. Si nous ne tentons rien aujourd'hui, ne sera-t-il pas en droit de me reprocher d'avoir été bien légère en acceptant ce jugement sans broncher ?
»
A
h parce que pour elles, les deux années d'enquête judiciaire n'ont pas été accomplies consciencieusement ? Quel manque de respect pour la justice et pour la police judiciaire, qui ont justement fait un excellent travail ! Mais ils n'ont pas été corrompus, eux ! C'est surtout cela qui les dérange !

Ainsi, leur fumisterie se propageait comme une traînée de poudre. On pouvait d'ores et déjà lire partout dans les journaux : « Les juges s'étaient contentés de cette ressemblance pour affirmer la paternité d'Yves Montand... »
Comme si les six années précédentes n'avaient jamais existé…

Carole Amiel dans le Paris Match du 22 septembre 1994 : « … ma seule ambition est d'aider la justice pour que toute la lumière soit faite dans cette affaire. Car cette décision de première instance a ceci d'incomplet que nous ne pourrons pas toute notre vie nous contenter de graves présomptions. »
Pourtant, la loi du 8 janvier 1993 du Code Civil est très claire ! Elle stipule justement qu'un test ADN positif n'est plus utile pour prouver la reconnaissance d'un enfant naturel, mais que des « présomptions ou des indices graves » suffisent désormais.


Ainsi, pour pallier les soi-disant « manquements de la justice », Dames Amiel et Allégret réclament un test ADN pour prouver la non-paternité d'Yves Montand, alors qu'il est mort :

Catherine Allégret dans « Au non du père » : « Nous ne pouvions laisser la Justice se satisfaire d'un jugement qui ne reposait que sur des interprétations. Nous décidâmes donc d'interjeter appel. Puisque Montand n'est plus là pour faire la preuve de sa non-paternité, nous rapportâmes dans nos conclusions, qu'il était possible de reconstituer le patrimoine génétique d'un défunt pour autant qu'il existât encore des collatéraux vivants. Une note détaillée du professeur Janot, généticien, expliquait le mécanisme à suivre. A ce moment de la procédure, le scénario s'inversa. »
C'est le moins que l'on puisse dire !!! Elles ont tout prévu et avancent avec une certitude bien douteuse dans cette voie bien véreuse.

Carole Amiel dans « Lettres à Montand » :

« Laurent Merlet vient de quitter l'appartement. J'ai pris avec lui une décision de la plus grande importance : je l'ai prié de requérir auprès de la cour d'appel une expertise sanguine sur les vivants, à savoir sur Lydia, ta grande sœur, Valentin et moi-même et les consorts Drossart.

… nous sommes agressés depuis des années par ces deux femmes. Alors c'est à notre tour de les agresser en leur demandant de prouver la véracité de leurs affirmations grâce aux moyens scientifiques à notre disposition aujourd'hui… A partir de cet instant précis, c'est Aurore qui va devoir faire la preuve de sa filiation avec lui. »
Heu à l'époque, par deux fois, je ne demandais que ça de faire la preuve de ma filiation lorsque mon père était vivant ! Là, il est mort, c'est étrange comme demande ! Mais la cerise sur le gâteau vient juste après… Et elle est bien rouge, bien grosse, bien juteuse…

Dame Amiel nous apprend que si elles ont réclamé ce test ADN, c'est pour soi-disant « éviter l'exhumation » ! Mais quelle exhumation ? Pourquoi parle-t-elle d'exhumation à ce stade de l'affaire ???

Carole Amiel dans « Lettres à Montand » :
« Et cette expertise sanguine est notre unique chance d'échapper à son exhumation. »
«
(Valentin) connaissait l'histoire, puisqu'il s'était soumis, comme Lydia, ta sœur, moi-même et les Drossart, à l'expertise sanguine que nous avions sollicitée en 1996, pour éviter cette exhumation. »

En fin de compte, elles ne réclament pas un test ADN pour faire le travail à la place de la justice, maintenant, on apprend que si elles réclament un test ADN, ce serait pour… éviter l'exhumation ! C'est étrange, vous ne trouvez pas ? Deux fois qu'elle met l'accent sur le fait que leur demande soudaine d'expertise sanguine serait pour soi-disant éviter l'exhumation ?? Mais quelle exhumation ? A quel moment est-il question d'exhumation à cet instant ? Moi j'ai gagné mon procès et Yves Montand est décédé. Tout aurait dû prendre fin là !

C'est justement l'expertise qu'elles sollicitent qui va amener à l'exhumation, leur généticien concluant lui-même à cela
. De fait, tous les généticiens savent qu'un tel test sur des collatéraux vivants ne donnera qu'une simple probabilité telle une loterie, et que la seule façon d'avoir une preuve irréfutable sera de comparer directement avec le corps d'Yves Montand, donc d'exhumer le corps ! En fait, si tu voulais échapper à l'exhumation comme tu le dis, pourquoi avoir fait appel en exigeant ce test qui amènerait inévitablement à l'exhumation ?

Sachant qu'en plus, à cette époque, tout le monde dit que l'exhumation d'Yves Montand dans le cadre d'une recherche de paternité est une grande première ! Donc en parler n'est vraiment pas normal.

De toute façon, aucune Cour ne pourra leur donner la légitimité de leur mauvaise foi et de leurs nombreux arguments fallacieux, preuves de justice à l'appui dans le dossier ! Ce n'est que du vent et de la calomnie qu'elles brassent dans l'air ! Elles ne sont pas crédibles un seul instant ! Tout le monde a les mêmes pièces de justice entre les mains, il ne faut pas l'oublier ! Et je vous les transmets à travers ce livre dans le but que vous aussi vous les ayez, qu'il y ait une totale transparence, et que cela montre notre bonne foi, et démontre leur mauvaise foi.

Pourtant, cette nouvelle cour d'appel va suivre les délires de ces deux femmes. Je suis atterrée ! Consternée ! Déroutée ! Mon père est mort, elles mentent de façon flagrante, mais cette Cour accepte leur demande de tests ADN ! Alors que la Justice avait fait son travail au nom des droits des enfants et qu'Yves Montand est décédé ! Ils auraient dû clore l'affaire. Au lieu de cela, ma reconnaissance vient d'être remise en question ! TOUT est remis en question ! Cela signifie que cette cour d'appel est du côté du clan Montand. Cette justice n'œuvre donc plus pour le bien d'un enfant mais uniquement pour satisfaire la demande de ces deux femmes qui se donnent toute légitimité pour nous mettre des bâtons dans les roues afin de m'évincer définitivement de mes droits ! Une justice complice pour ce nouveau volet "BATAILLE GENETIQUE"...
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